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« Au commencement, il y avait Romu et Zebat … »

 

  • L’histoire de ce jeu est intimement liée à celle du jeu VBStrike. Ce dernier, programmé en Visual Basic, se calquait sur le moteur 3D d’half life et permettait de jouer sur des parties assez basiques. En 2001, Romu et Zebat qui se sont rencontrés sur VBstrike décident de programmer eux-mêmes un jeu codé en C++ utilisant un moteur graphique libre d'utilisation : le HL rendering engine. Celui-ci sera jouable gratuitement en ligne et sera destiné aux rares connectés à Internet de l’époque. Le nom est rapidement trouvé : RomuStrike. « Romu » comme le nom de son créateur, « Strike » en référence à VBstrike. Quant au logo, il s’agira du chien de Romu, pris en photo et retouché.

     

  • Après plusieurs mois de développement, les premières versions du jeu sont distribuées  un peu partout sur Internet. Un site et un tchat sont créés et hébergés gratuitement par Zebat. A cette époque, Romustrike ne ressemble en rien à ce qu’il est aujourd’hui. Un seul mode de jeu est disponible (le mode Normal), quelques skins et quelques maps permettent aux rares joueurs de s’amuser sur une partie. Néanmoins, au fil des versions et des diverses améliorations, le jeu finit par se faire connaitre.

     

  • Le nombre de joueurs augmentant petit à petit et les deux créateurs ne pouvant pas tout gérer, ils décident de constituer une équipe de modération, plus précisément une équipe « d’opérateurs » chargée de surveiller et de modérer l’ensemble des supports. Ils sont recrutés parmi les joueurs en 2002. Le premier recrutement a été celui de Thor suivi par celui de Daisho et d’Alric. Cette petite équipe s’avéra être efficace mais pas assez pour contenir le nombre croissant de joueurs. C’est ainsi que Négociateur, tagada, psig, paky et esey sont recrutés en 2003. Ils renforcent les rangs mais épaulent aussi Zebat au développement, suite au désengagement de Romu du jeu. Cependant, toute une organisation est mise en place et les bases de ce qu’est Romutrike aujourd’hui sont établies. C’est à dire : sa simplicité, sa communauté francophone conviviale et active ainsi que son développement « participatif ».